Un test de paternité à été ordonné par la justice dans le procès opposant une déficiente mentale et un violeur présumé dénommé Coumba Ntoffène Diouf. L’histoire se passe à Dakar, une déficiente mentale accuse cet homme de viol et de l’avoir mise enceinte. L’homme nie tout en bloc devant le juge. Face aux dires des uns et des autres, la justice décide de faire un test de paternité et donc de repousser le procès de quelques jours. On revient sur les faits.

Cette jeune femme clame haut et fort que Coumba Ntoffène Diouf est le père de son enfant. Selon elle, il l’aurait contrainte par la force pour abuser d’elle sexuellement. Il y a aurait eu 2 rapports sexuels au total. La jeune femme rapporte qu’il la menaçait avec un couteau. Forcée, elle a dû se soumettre à ses désirs. Après le second rapport, elle tombe enceinte. C’est là qu’elle lui annonce la nouvelle et il nie tout en bloc. Ils vont jusqu’au procès, mais malgré tout il continue à dire qu’il n’a jamais touché cette femme et que c’est encore moins le père de son enfant.

Mais l’ADN ne trompe pas, le juge ordonne donc de faire un test de paternité dans les plus brefs délais. Ce test de paternité est en cours d’analyse à l’heure actuelle. Dans les prochaines heures, nous saurons si Coumba Ntoffène Diouf est le violeur de la jeune fille et le père de l’enfant qu’elle porte. Selon les résultats du test de paternité, l’individu en question sera condamné pour viol et sera contraint de reconnaître son enfant.

Chose étonnante : malgré la déficience mentale de la jeune femme, ses propos ont été pris très au sérieux par le juge. A raison ou à tort ? Le test de paternité nous le dira très rapidement. Affaire à suivre donc…

Source : http://www.leral.net/Viol-sur-une-deficiente-mentale-Le-prevenu-reclame-un-test-d-Adn_a204237.html#