Après 2 ans, le violeur d’une joggeuse a pu être identifié grâce à un test ADN.

Cette affaire vieille de 2 ans n’avait pas pu être bouclée malgré les recherches actives des policiers. A l’époque, aucun suspect n’avait été arrêté. Un nouveau rebondissement a fait l’actualité récemment : un homme a été interpellé, il serait le violeur de la joggeuse. Il a été identifié grâce un test ADN salivaire. Avant de revenir sur cette nouvelle, voici un résumé rapide de l’affaire.

Le viol date de 2015 : une jeune femme partie faire son footing autour d’un étang dans la ville de Trélivan se fait agresser puis violer par un homme. Elle échappe finalement à son agresseur et se rend immédiatement à la police. Là, on effectue des prélèvements ADN. Le jour même, les policiers se mettent à la recherche de cet homme. L’étang était très fréquenté ce jour là, malgré des efforts conséquents, ils n’arrivent pas à mettre la main sur le suspect. Pour chaque individu potentiellement identifiable comme suspect, un test ADN salivaire avait été effectué. Mais on ne retrouva pas l’ADN du violeur parmi tout ceux qui avaient été prélevés. Au total, 150 hommes avaient été testés et un portait robot avait été dressé. Mais en vain.

Les policiers ont continué de tester d’autres individus sur la base du test ADN salivaire, mais cette fois-ci dans les villages voisins de Trélivan. Cette nouvelle série de tests a enfin permis de débusquer le suspect. Le violeur de la joggeuse a été retrouvé grâce au test ADN. Il y a eu concordance entre l’ADN prélevé sur la victime après le viol et l’ADN prélevé sur le suspect. Cet individu a déjà un casier judiciaire mais il ne présente aucun antécédent en matière de délinquance sexuelle. Ce n’est pas la première affaire qui est résolue plusieurs années après l’incident.

Source : http://www.dna.fr/actualite/2017/06/10/le-violeur-d-une-joggeuse-identifie-deux-ans-apres