Test ADN : cette américaine de 31 ans s’est battue pendant de longs mois pour pouvoir récupérer son enfant biologique. Elle a accepté de porter l’enfant d’un couple chinois et a donné naissance à des jumeaux, pensant qu’ils étaient tous deux issus de la fécondation in vitro.

Jessica Allen a vécu un cauchemar. Son mari aussi, ses deux fils également. Elle décide de devenir mère porteuse et s’inscrit dans une agence. Rien de plus normal aux États-Unis. Un coupe de chinois la sélectionne et les étapes sont franchies avec succès. Jessica va accueillir leur bébé à l’aide une FIV. Rapidement, elle tombe enceinte. Sauf qu’elle continue à ovuler, c’est assez rare chez la femme. Secondo, le préservatif utilisé par son mari n’a pas permis de les protéger, Jessica tombe alors enceinte une seconde fois sans le savoir.

La première échographie de grossesse arrive et on lui annonce qu’elle attend des jumeaux. Le couple chinois devra payer 5000 dollars en plus des 30 000 négociés pour le premier enfant. Elle accouche mais ne peut voir les bébés. Un mois après, le couple chinois la recontacte en lui envoyant des photos des jumeaux. L’un est typé asiatique et l’autre est métissé noir. Il y a un souci. Là, ils se rendent tous compte qu’ils faisaient fausse route en pensant que les bébés étaient des jumeaux. Un test ADN a été effectué pour mettre fin au mystère. Le test ADN a révélé que Jessica et son mari étaient les parents biologiques de l’un des bébés. Le phénomène de superfétation est très rare, la femme continue d’ovuler alors qu’elle est déjà enceinte. La lutte a été longue et coûteuse pour pouvoir récupérer leur enfant, mais tout est bien qui fini bien. Une expérience traumatisante pour tout le monde, aussi bien la famille américaine que le couple chinois.

Source : http://www.bvoltaire.fr/gpa-rachat-de-propre-enfant/