Test ADN : une nouvelle hypothèse a été émise par les enquêteurs, alors que l’affaire piétine. En effet, une autre piste serait actuellement à l’étude : celle d’un complice ou un enlèvement commandité. On revient sur cette nouvelle.
Pour rappel, la petite Maëlys a disparu dans la soirée du 26 au 27 septembre, devant la salle des fêtes de Pont-de-Beauvoisin dans l’Isère. Ses parents, la petite fille et de nombreuses autres personnes étaient invités à un mariage. A 3 heures du matin, la fillette de 9 ans disparait brutalement sans laisser de trace. Le dispositif alerte enlèvement a été déclenché quelques heures après la disparition de Maëlys, mais en vain. De nombreux habitants des villages voisins ont organisé des battues, se sont mobilisés, d’autres personnes ont partagé un maximum l’information sur les réseaux sociaux….mais la fillette est restée introuvable.
Un premier suspect est arrêté puis entendu, il s’appelle Nordhal Lelandais, un ancien militaire de 34 ans habitant chez ses parents. Lors de la première audition il nie tout, alors qu’un test ADN est en cours (réalisé sur des échantillons prélevés dans son véhicule, qu’il avait nettoyé le lendemain de la disparition). Le suspect est relâché mais il sera rapidement interpellé une seconde fois, grâce au résultat positif du test ADN. Le test ADN prouve que la fillette se trouvait à bord de son véhicule à un moment donné, ce qu’il a nié lors de la première audition.
Les enquêteurs explorent à présent la piste d’un autre complice ou de l’enlèvement commandité (le suspect aurait enlevé la fillette sur demande d’une autre personne). A l’heure où l’enquête piétine, cette hypothèse est étudiée. On espère vraiment que les policiers retrouveront des indices qui les mèneront à Maëlys. Toutes nos pensées et tous nos encouragement vont à la famille de la petite fille, qui est entrain de vivre des moments douloureux.