Suspicion de dopage pour l’équipe nationale de football de Russie qui a participé à la dernière coupe du monde : un test ADN pour confirmer les doutes ? La FIFA a dans son viseur les 23 footballeurs russes qui ont disputé la dernière coupe du monde. Pourquoi ? La FIFA pense qu’il y a eu dopage et espère pouvoir les sanctionner rapidement. Pour cela, il faudra faire un test ADN sur chacun des joueurs. Selon plusieurs sources, l’enquête de la FIFA ne pourra pas aboutir étant donné le peu d’élément en sa possession.

Selon les recoupements faits par le journal Le Monde, la fédération internationale de football n’aurait en sa possession qu’un seul document pour prouver ses dires. L’enquête est donc loin d’aboutir. Plusieurs réactions du côté russe permettent de confirmer cela. Par exemple, le président du comité d’organisation de la coupe du monde 2018, Alexeï Sorokine, qui a déclaré récemment : ‘Nous ne considérons pas cela comme un sujet d’importance’.

Tous les joueurs avaient pourtant été testés en juin 2014 et aucune substance illicite n’avait été détectée dans les urines des joueurs. Alors y-a-t-il eu manipulation des échantillons ? Pour en avoir le coeur net, il faudrait que la FIFA puisse ordonner un test ADN sur chacun des 23 joueurs russes  et ensuite comparer leur ADN à celui prélevé en 2014. Pour le moment, l’enquête est en cours malgré la non inquiétude du côté russe.

Si la FIFA arrive à ses fins, chaque joueur sera dans l’obligation de soumettre à ce test ADN. Si l’ADN correspond à celui prélevé lors du dernier test tout rentrera dans l’ordre. Par contre, si les ADN ne concordent pas, un vrai scandale éclatera dans le monde du football. Nous devrions en savoir plus dans les semaines ou mois à venir. La FIFA s’accroche à la moindre preuve et cherche tous les indices possibles. La fédération ne lâchera rien.