Test ADN : une américaine de 18 ans accuse deux policiers de l’avoir violée. Un test ADN a prouvé qu’il y a eu un rapport sexuel entre Anna Chambers et ces 2 policiers. Mais était-elle consentante ? Enquête.
Anna Chambers, 18 ans, vit à Brooklyn. Le 15 septembre dernier, elle se fait contrôler par deux policiers de la NYPD, la police new-yorkaise. Elle est au volant de sa voiture. Très vite le contrôle de routine dérape. Selon la jeune fille, les policiers l’ont emmené de force dans un fourgon non identifié. Ils lui demandent de monter, ils doivent l’interroger. Anna est pétrifiée, ce sont des agents de police, elle doit leur obéir car ils ne font que leur devoir. Elle était loin de s’imaginer ce qui l’attendait dans ce fourgon.
Dans le véhicule, il y a déjà deux autres policiers, elles se retrouvent donc entourée de 4 hommes. Là, deux d’entre eux la forcent à pratiquer une fellation. Les deux autres la violeront. Elle a pourtant refusé de se soumettre à leur autorité mais l’un d’eux la met alors en garde : si elle veut ressortir de ce fourgon, elle doit faire ce qu’ils demandent.
Sortie de là, Anna court porter plainte. Elle accuse deux policiers de viol. Un test ADN a été effectué rapidement. Ce test ADN positif prouve que ces hommes ont eu des relations sexuelles avec Anna. Lors de l’interrogatoire, les policiers auraient dit que la jeune femme était pleinement consentante et que le test ADN ne prouvait en aucun cas le viol, simplement un rapport sexuel. Une enquête a été ouverte, elle est en cours à l’heure actuelle. Après les flics corrompus, les flics racistes qui tabassent et tuent des noirs, il est maintenant question de flics qui violent des femmes. Le directeur de la police de New York a promis que les coupables paieraient le prix fort, s’il s’agit bien d’un viol.