Test ADN : un ingénieur vient de saisir la cour suprême, il demande à ne plus être reconnu comme étant le père biologique de l’enfant qu’il a élevé. Explications.

C’est l’histoire classique d’un homme et d’une femme qui se rencontrent et qui tombent rapidement sous le charme l’un de l’autre. 2 semaines après leur rencontre, la jeune femme annonce à son petit ami qu’elle est enceinte. Il est surpris mais accepte la nouvelle. Il est vrai qu’ils ont eu des rapports non protégés, ils auraient dû faire plus attention. Un bébé, c’est un peut trop tôt, mais cela consolidera leur amour, voici ce que pense le petit ami. Ils décident ensemble de se marier rapidement. Le bébé arrive et le père commence à avoir un doute sur sa paternité. L’histoire ne dit pas s’il doutait de la fidélité de sa femme ou si l’aspect physique de son enfant lui a mis la puce à l’oreille. Les mois passent mais le doute persiste dans sa tête. Un jour, il décide de faire un test de paternité sans en parler à sa femme. En effet, pour effectuer un test de paternité, il ne faut que la salive de l’enfant et celle du père. La présence de la mère n’est pas obligatoire.

Il effectue donc le test de paternité à l’insu de sa femme et là c’est le choc. Le résultat est négatif, l’enfant âgé de 2 ans, n’est pas le sien. Ses doutes étaient donc fondés ! Là, il prend la décision de saisir la cour suprême pour demander à ne plus être reconnu comme le père biologique de l’enfant. Il se dit prêt à faire un nouveau test de paternité si cela est nécessaire. Par conséquent, il demande une modification de l’état civil de l’enfant, il ne doit plus porter son nom. Ce petit bout se retrouve donc au milieu d’un drame familial alors que c’est son arrivée qui a marié ses parents.

Source : http://defimedia.info/un-ingenieur-saisit-la-cour-supreme-refus-de-paternite